Les députés avaient voté en février cet amendement de la députée réunionnaise Erila Bareigts, au projet de loi Macron: il s’agissait de remplacer les jours fériés nationaux, par des fêtes locales.
Depuis, le président de la République avait jugé qu’une telle décision n’avait pas sa place dans une loi portant sur les axes de développement économique.
Le sénateur UMP de Vendée, Bruno Retailleau, explique dans un communiqué rapporté par clicanoo, le site du JIR, que si pour certains, ces fêtes ont perdu leur caractère religieux, “elles constituent notre agenda commun”.
La loi Macron sera étudiée du 7 au 17 avril au Sénat, qui veut ajouter sa touche en permettant aux entreprises de négocier le temps de travail en créant des dérogations aux 35 heures.
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