Une propriétaire, 40 victimes identifiées, pour la plupart des ressortissants de pays africains, victimes de mal-logement.
Accusée dans un premier temps d’aide à l’entrée de personnes en situation irrégulière, la propriétaire a finalement été reconnue coupable, après requalification des faits, d’hébergement dans des conditions incompatibles avec la dignité humaine.
Ce genre de faits étant souvent motivé par l’appât du gain, la politique pénale est de frapper au portefeuille. La dame écope de 30 000 euros d’amende, dont 10 000 avec sursis, et la confiscation d’un terrain lui appartenant. Un autre lui a été restitué.
Elle doit en outre verser 2000€ d’indemnisation à deux des parties civiles, et 1000€ à toutes les autres.
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