En évoquant successivement un “dysfonctionnement”, puis l’absence “de défaut majeur”, la direction de EDM n’a pas découvert contrairement à mardi dernier, de sabotage comme des postes mis à terre. L’intersyndicale de grévistes se dédouane donc dans un communiqué, et interroge sur l’incapacité des dispositifs de sécurité, “un peu comme des disjoncteurs”, à se déclencher pour éviter une panne générale.
Ils accusent plutôt un “retard d’investissements”, “retards qui ne seraient pas tolérés si EDF était à la manœuvre localement comme dans les autres DOM, compte tenu du haut niveau d’exigence de cet opérateur d’envergure mondiale.”
L’intersyndicale se dit “impatiente des résultats de l’enquête diligentée par la Direction mettant en évidence une intervention malveillante sur les installations”.