A ce titre, on compte celle de la maire de Chirongui, qui avait appuyé l’action de sa police municipale et de la gendarmerie en invitant les habitants à la prudence lorsque des “individus agissant en bandes” avaient sévi à Tsimkoura. (Lire Appel à la vigilance à Chirongui)
Et il faut compter également avec la réaction du maire de Mamoudzou en réponse à “des dégradations ou destructions des matériels de la Ville par une utilisation abusive et non autorisée des structures communales fermées au public en période de confinement”, par un “groupe d’individus”, généralement la nuit, avec “forts troubles à l’ordre public”.
Des méfaits commis depuis le 15 avril, “le montant de ces actes malveillants s’élève à 32.000 euros”.
La ville de Mamoudzou s’est constituée partie civile et a déposé plainte le 4 mai 2020 auprès du procureur de la République sur la base de l’article 322-3 du code pénal qui menace de peine de de 5 ans d’emprisonnement et de 75.000 euros d’amende, la destruction, la dégradation ou la détérioration d’un bien destiné à l’utilité publique et appartenant à une personne publique, et/ou lorsqu’elle est commise par plusieurs personnes, agissant en qualité d’auteur ou de complice.
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