Mohamed Bacar, qui a entamé il y a deux ans son deuxième mandat à la tête de la commune de Tsingoni, a été entendu par la section de recherche de la gendarmerie nationale mardi 31 mai, dans le cadre de son placement en garde à vue.
Il s’agissait de l’entendre sur une éventuelle infraction de prise illégale d’intérêt autour de terrains communaux. Il en est ressorti le soir.
Le dossier est en analyse au parquet, qui nous indique que “après analyse, il sera décidé s’il y a lieu ou pas d’engager des poursuites”.
Il s’agit d’une nouvelle mise en cause touchant une personnalité politique après le maire de Chirongui, et sur des enquêtes financières comme ce fut le cas pour le présidente de MCG.
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