La récente et momentanée voie d’accès des véhicules à la barge en Grande Terre est transformée en sortie, donc faites demi-tour devant le sens interdit, c’est que vous avez loupé le coche ! Pour prendre la barge, il faut bien tourner vers l’ amphidrome, mais désormais prendre aussitôt la voie longeant la RN1 (voir plan ci-dessous). La sortie de la barge est également se fait donc par la voie longeant le marché couvert.
La partie du terre plein qui servait autrefois de friperie, s’est muée en un parking de 150 places ouvert au public dont les entrées et sorties se trouvent au nord du site, là encore du côté de l’amphidrome. Il est déjà saturé. L’ancien parking en terre battue est toujours en travaux.
Les taxis “Ville” et les déposes minute doivent désormais se faire par la voie d’accès à la barge. Pour chaque usager, une voie dédiée. Une fois embarqué les passagers, les taxis empruntent la voie de dégagement utilisée par les véhicules sortant de la barge. Il faut espérer qu’ils n’y soient pas bloqués.
Tout ce petit monde arrive sur la voie d’accès aux amphidromes, ce qui ne devrait pas poser de problème, les horaires de l’un et de l’autre différant d’un quart d’heure.
Débouchonner les accès
“Des panneaux afficheront la phase des travaux pour permettre aux taxis, aux piétons, à l’ensemble des usagers de prendre les dispositions nécessaires pour l’accès et sortie aux barges. Dans ce contexte, l’ensemble des usagers devra respecter dans l’emprise du chantier les consignes pour assurer une continuité des travaux et la sécurité de tous”, indique le conseil départemental.
Ces travaux sont censés répondre aux problèmes de circulation engendrés par le volume de véhicules embarqués. En effet, les barges d’antan avaient une capacité d’une dizaine de voitures, leur sortie et évacuation sur le réseau routier était donc rapide, puisque c’est l’amphidrome assurait le gros de l’emport, avec un accès dédié. Avec l’achat du Georges Nahouda, puis des Polé et Karihani, le trafic véhicules a été décuplé, embouteillant l’accès à la barge, qui débordait sur l’accès aux amphidromes, provoquant des blocages réguliers sur la voie publique. Il fallait donc réorienter le trafic.
C’est donc en cours, avec un gigantesque sens giratoire (voir plan), qui doit permettre de fluidifier l’ensemble.
Il s’agit aussi d’anticiper le gros chantier du pôle multimodal du transport urbain Caribus porté par la communauté d’agglomération CADEMA annoncé pour 2020, qui nécessite d’aménager des zones d’échange de mode de transport, bus-véhicules-maritime.
A.P-L.
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