Le premier ministre Manuel VALLS engage la responsabilité de son gouvernement à l’Assemblée nationale en faisant usage de l’article 49 alinéa 3 de la Constitution pour faire adopter la loi Macron en deuxième lecture. Le député mahorais Ibrahim Aboubacar
annonce se ranger à ses côtés, contre la motion de censure déposée par la droite, et surtout contre “un certain nombre de députés de la majorité (qui) appellent encore à ne pas soutenir le gouvernement à cette épreuve (…) malgré le congrès de Poitiers du week-end dernier”.