Deux médecins du service psychiatrie du centre hospitalier de Mayotte étaient poursuivis dans une affaire de harcèlement sexuel présumé. Comme nous le relations la semaine dernière, le premier, un médecin en mission pour un mois à la fin juillet 2013, aurait fait part de sa volonté d’avoir une liaison avec une agent de service (ASH). Le second médecin, chef de service au moment des faits, avait donné le numéro de téléphone à partir duquel son collègue avait essayé plusieurs fois de contacter l’ASH.
Les deux prévenus ont été relaxés des faits qui leur étaient reprochés. Le tribunal a justifié sa décision relevant que «s’il était manifeste que leur comportement a créé une situation intimidante, hostile ou offensante, son caractère unique et l’absence de pressions graves» ne lui permettait pas de les condamner.
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