Sciences

Une météorite de la taille d'un 4x4 a frôlé la Terre le week-end dernier en survolant le sud de l'océan Indien, indique la Nasa, l'agence spatiale américaine. sa trajectoire en fait un objet d'étude unique, faute d'avoir offert un joli spectacle depuis le sol.

La naissance du volcan sous-marin en 2018 a ravivé à Mayotte la conscience du risque de vague-submersion. En cas de tsunami, une seule option : évacuer les zones à risque. Une équipe est actuellement sur l'île pour définir les zones refuges dans chaque commune.

Les tests PCR, par prélèvement nasal, sont nécessaires pour rejoindre Mayotte depuis la métropole. Mais l'examen n'est pas infaillible, et cette mesure a conduit des passagers à manquer leur vol sans être pour autant malades.

« Le phénomène sismique que connaît Mayotte depuis deux ans pourrait potentiellement générer un tsunami », a déclaré le préfet Jean-François Colombet lors de la conférence de...

Les essais thérapeutiques proposés à Mayotte et la Guyane n'en finissent pas de faire polémique, malgré les assurances de l'ARS de Mayotte. Issa Issa Abdou, le CHM et le Dr Niang se veulent rassurants eux aussi.

L'annonce prématurée d'un essai thérapeutique contre l'épidémie de Covid-19 a suscité une forte inquiétude à Mayotte et en Guyane. Or, rien n'est fait, et la nature de l'essai, déjà mené en métropole, mérite d'être précisée.

Un communiqué de la préfecture informe que la nouvelle phase d'études, il s'agit de mieux comprendre le sous-sol de Mayotte pour analyser plus finement les séismes qui durent depuis plus de deux ans.

Il y a un peu plus de deux ans, l’île était secouée par des séismes répétés et fortement ressentis. Le bulletin REVOSIMA publie son point du mois de mai après le passage sur zone d’une nouvelle mission. Il fait écho à la « Naissance d’un volcan », documentaire diffusé ce mercredi par Mayotte la 1ère

Une mission MAYOBS 13–2 s’est déroulée sur le navire Gauss de la société Fugro du 4 au 11 mai 2020, opérée par l'IFREMER, l’Institut...

La diffusion modérée du virus en Afrique et dans les départements français ultramarins, a servi de base à une étude encourageante : chaque degré Celsius supplémentaire affaiblit un peu plus le virus