justice

Il faut dire que les contentieux augmentent, surtout en matière de droit des étrangers. La préfecture se dote de compétence pour éviter les actes irréguliers

Le procès de l'ancien président du conseil général de Mayotte et du directeur général de la SPL976 a été renvoyé au premier juillet pour cause de grève des avocats. Mais une erreur de procédure a facilité ce renvoi : la SPL976, victime dans ce dossier, n'a pas été avisée comme telle. Le procès arrivera plus de 7 ans après les faits reprochés aux prévenus/

Après avoir communiqué sur le déploiement de force dans les bus et aux abords des arrêts, les forces de l'ordre n'ont pu que constater la poursuite des caillassages. Les auteurs, très jeunes, ont finalement été appréhendés, incitant le général Leclercq à interpeller sur la parentalité

A la suite de la coupure de mardi, des dégâts ont été constatés sur les installations électriques. Malmenée depuis lundi par un conflit social, EDM porte l'affaire au tribunal pour "déterminer les responsabilités"

Cinq filles dont une majeure, et un garçon, ont agressé sexuellement et sous la menace une jeune fille mineure, en diffusant les images sur internet. Ils encourent de fortes peines

La justice populaire a bon dos, surtout si elle permet de se faire de l'argent en malmenant et en humiliant un jeune homme. Sous prétexte de retrouver un zébu volé, trois hommes ont enlevé un jeune agriculteur pour soutirer des sous à sa famille.

Jugés ce mercredi, quatre membres de la "BAB" ont écopé de prison ferme avec incarcération immédiate.

Difficile à Mayotte de mobiliser en période scolaire, quand les professeurs sont absents du territoire. Le privé se montre peu mobilisé contre la réforme des retraites, à l'exception des avocats qui réclament son retrait en bloc.

Témoigner et aider les forces de l'ordre s'avère payant. C'est le message du parquet de Mamoudzou après la résolution rapide d'une affaire de viol en réunion commis le 29 décembre à Koungou. Quatre auteurs présumés sont derrière les barreaux.

A la barre du tribunal, l'homme arrêté à l'aéroport avec une fausse carte d'identité explique avoir voulu une vie meilleure en métropole... Sans parler français, sans sa famille et sans aucun contact sur place. Il est désormais interdit de territoire.